
Cette exposition est une sorte de déambulation autour d’un corps sidéré qui souhaite se dépasser pour agir et s’impliquer. C’est un corps qui a envie de devenir acteur, actif et activé. Il y a donc à la fois cet arrêt, cette pause de vie, et ce questionnement, comment re-agir ? se réactiver ? se réengager en tantque regardant et que regardé ? L’action, le mouvement sont des gestes de réaffirmation engagée, de réaffirmation politique, de réaffirmation sociale. »Sarah Trouche
