Mambo est un artiste Français qui se rattache au mouvement urbain. Son travail est influencé par Roy Lichtenstein, Mondrian, Keith Haring et Dubuffet. Né au Chili en 1969, de père Français et de mère Hongroise.
Flavien Demarigny aka Mambo a grandi en Amérique du Sud and a commencé sa carrière à Paris. Il vit et travaille désormais à Los Angeles.
Il a exposé dans des galeries et musées à travers le monde telles que le Centre Pompidou. Il a également collaboré sur de nombreux projets avec Prada, Agnes B, Vans, Samsung et Canal +. Artiste autodidacte il a fait partie, de 1986 à 1997, du groupe d’artistes peintres « la Force Alphabétique » et a rejoint le « 9eme Concept » à partir de 1998.
Mambo a son propre vocabulaire: il est un artiste polyglotte, capable de piocher ce dont il a besoin dans sa palette de langages pour exprimer son humeur du moment. Son centre d’intérêt est l’être humain, ses oeuvres s’inspirent du cerveau: ce que contiennentnos cases mentales, pleines de sensations, de sentiments enfouis et de réactions machinales.
Nos comportements deviennent des idéogrammes colorés, notre environnement un dictionnaire, dans lequel il puise les signes et les symboles pour écrire ses propres phrases: des énigmes visuelles.
Sa peinture se construit par un jeu de lignes et de motifs spontanés créant un monde graphique expressif. Le centre d’intérêt de sa création est ‘l’être humain’. Avec ses ‘Emotifs‘ orange, l’artiste recrée des attitudes, sentiments et comportements humains. Ces visages ne représentent personne en particulier mais l’humanité en général.
Il créé ainsi un monde graphique expressif, rempli de sens sous- jacents, alliant observation, ambiguité et humour.
Sa série ‘Brainology’ est cognitive et abstraite, reflétant l’inconscient de l‘être humain. Elle se compose de trames improvisées de lignes-contours noires et d’une constante recherche d’harmonie entre les motifs, couleurs et contrastes. Il s’agit d’une oeuvre plus intuitive où le spectateur développe sa propre lecture et retrouve sa propre histoire.
Mambo n’impose pas son discours, il nous intrigue et nous amène à mémoriser notre propre réflexion.